Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/47

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Pourtant ! faut-il qu’il recommence
Cet amour qui n’a pas cessé ?
Ce serait nouvelle démence,
Et nouvel espoir insensé !

Ô chère âme, qu’un autre t’aime
Puisqu’à mes yeux irrésolus
Tu n’es plus tout à fait la même.
Et que tu ne me connais plus !