Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/78

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Et nous serons chez nous. Nos rêves,
Nos longs baisers dans les nuits brèves,
Les aveux de ta douce voix,

Tes seins blancs et tes lèvres roses
Empliront de troublantes choses
La maisonnette au fond des bois.