Page:Madeleine - Quelques poëtes français des XVIe et XVIIe siècles à Fontainebleau, 1900.djvu/287

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LE SIEUR ROLAND



Celui-là n’est — pour employer le juste terme — qu’un mendiant ; et son œuvre, si l’on peut bien s’exprimer ainsi, son œuvre, une simple feuille, est exactement une sorte de supplique ou de placet, à multiple, à variable adresse, destiné à faire tomber quelques écus, qui d’ailleurs ne tombaient guère, dans un chapeau à tout venant tendu.


Cela s’appelle : Elégie Latine et Françoise par le sieur Roland, Anglais, autrefois Ministre Curé de la paroisse du Roy d’Angleterre, à Londres. — À Paris, chez Denys Langlois, au mont Saint Hilaire.