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Page:Madeleine - Quelques poëtes français des XVIe et XVIIe siècles à Fontainebleau, 1900.djvu/309

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« Ce Divertissement fut fait à ce sujet, et devoit être chanté un jour qu’on espéroit que le Roy y viendroit, mais il ne fut exécuté que dans l’Appartement de Madame de Maintenon.

« L’Ange tutélaire de Franchard commence ainsi :

Qu’entens-je !…


Non ! — Pas un seul de ces infâmes vers ne sera transcrit à cette page ! —

Lainez avait tous les droits à une place avantageuse sur le Parnasse de Titon. Reportons-nous à la planche correspondante. À l’avers de la médaille, un profil Bourbonnien, noblement emperruqué. Au revers, trois couronnes, l’une de Laurier, récompense de la Poésie Héroïque, l’autre de Mirte, prix de la Poésie Galante, la dernière de Pampres, illustre rançon de la Poésie Bachique ; et ce fier exergue : Je les mérite toutes trois !