Page:Maeterlinck - Serres chaudes, 1912.djvu/124

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L’heure est triste enfin, mes sœurs,
Ôtez mes sandales,
Le soir meurt aussi, mes sœurs,
Et mon âme a mal…

Vous avez seize ans, mes sœurs,
Allez loin d’ici,
Prenez mon bourdon, mes sœurs,
Et cherchez aussi…