Page:Maeterlinck - Serres chaudes, 1912.djvu/16

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Et tandis que mon cœur expire
Les bulles des songes lilas,
Mon âme, aux frêles mains de cire,
Arrose un clair de lune las ;

Un clair de lune où transparaissent
Les lys jaunis des lendemains ;
Un clair de lune où seules naissent
Les ombres tristes de ses mains.