Mes doigts aux pâles indolences
Élèvent en vain, chaque soir,
Les cloches vertes de l’espoir
Sur l’herbe mauve des absences.
Et mon âme impuissante a peur
Des songes aigus de ma bouche,
Au milieu des lys que j’attouche ;
Éclipse aux moires de mon cœur !…