Page:Maeterlinck - Serres chaudes, 1912.djvu/80

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Et tant d’autres ont l’air de blessés soignés dans une serre chaude !

Et tant d’autres ont l’air de sœurs de charité sur une Atlantique sans malades !


Oh ! avoir vu tous ces regards !
Avoir admis tous ces regards !
Et avoir épuisé les miens à leur rencontre !
Et désormais ne pouvoir plus fermer les yeux !