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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/198

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LA TENDRE CAMARADE

Dans la villa d’Anthéor, il y a beaucoup de baisers, beaucoup de caresses que le soleil brûle, que le souffle de la nuit fait évaporer, et Aline se lève chaque matin avec l’espérance et s’endort avec le renoncement.