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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/208

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LA TENDRE CAMARADE

à présent c’est le printemps, et l’on vient de les replacer. Ils sont éblouissants de blancheur et un peu raides encore, parce qu’ils sortent du lavoir. Je veux t’apercevoir toute nue sur le lit à travers leur gaze légère, comme à travers un rêve transparent, une subtile robe qui ne te toucherait pas.