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Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/76

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LA TENDRE CAMARADE

toute seule, comme une plaine désolée au bout de laquelle il y avait un escalier de maison meublée et un lit triste. Mais un instinct profond la conseillait, et elle entra dans la plaine, en souriant, sans se retourner.