Page:Maizeroy – L’Amour qui saigne, 1882.djvu/149

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Et elle rêve d’ouvrir un nouveau cours — un cours gratuit de jeunes filles — où elle rassemblera comme dans un musée secret les plus beaux, les plus effrontés modèles qui aient encore cambré leurs torses nus dans la clarté fausse des verrières…