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Page:Maizeroy – L’Amour qui saigne, 1882.djvu/159

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reux, mais autant en balayaient les coups de mistral et l’on eût cru que le cœur de la belle héritière avait été emporté — un soir — par delà les montagnes, dans la mer bleue, par l’impétueuse ventée qui tord les arbres et épouvante les oiseaux.