Page:Maizeroy – L’Amour qui saigne, 1882.djvu/189

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II


Cette fin d’après-midi fut exquise. Leur béatitude confiante me gagnait comme le charme enveloppant d’une causerie lente. Il y avait des rires dans l’air, et la tendresse molle des accalmies. Et il fallut visiter l’hôtel pièce par pièce, écouter les projets, discuter les moindres détails, donner des conseils. Falgéras m’expliquait ses plans fantaisistes. Lorsque les enfants auraient grandi, on transformerait la « nursery » en atelier. On ouvrirait le petit salon