Page:Maizeroy – L’Amour qui saigne, 1882.djvu/35

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II


À la fin, il allait se coucher, pas à pas, avec d’interminables flâneries, se retournant pour entrevoir les fenêtres du village qui s’éteignaient, la rivière qui roulait des poignées d’astres. Et avant de s’endormir, il saluait gravement les antiques portraits suspendus aux murs. Le lendemain, la même vie recommençait, monotone, heureuse, mais de ce bonheur parfait qui fatigue. Et voici ce qui se passa cer-