Page:Maizeroy – L’Amour qui saigne, 1882.djvu/97

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temps, très longtemps pour voir cela. Et brutalement tout craquait, tout s’effondrait comme une maison mal bâtie.

Il réfléchit, étreignant son front de ses deux mains. Il ne savait plus que croire.

Il cherchait dans un écœurement douloureux les causes de cette dégringolade.

— Il y a des jupons là-dessous ! murmura-t-il enfin. Maxime est dans la glu et ne peut s’en dépêtrer. Mais nous verrons bien…

Le lendemain, à la grande stupéfaction de Véronique, le commandant bouclait sa valise et prenait le train de Paris sans prévenir personne, pas même les camarades du café National, qui l’attendirent in-