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LES PARISIENNES
noce dans leurs appartements garnis de la rue des Martyrs ou de la rue Saint-Georges.
La jeune femme semblait une aveugle qui ne sait où elle va, et elle avait maintenant de telles prostrations nerveuses, que Mariette épouvantée, se sauvait de la chambre, s’habillait à la hâte et l’abandonnait toute seule, raidie, comme morte dans le grand lit dévasté, raviné par leurs étreintes libertines.