L’affection qui fait l’objet de ma thèse s’étant montrée,
pendant le mois de septembre dernier, dans le canton que
j’habite, j’ai pu la suivre dans toutes ses périodes et saisir
certaines causes qui m’ont paru favorables à son éclosion.
Aussi ai-je cru utile de décrire cette maladie, dans l’intérêt
des agriculteurs de mon pays, en indiquant un traitement
préservatif basé sur l’observation des causes ; car il vaut
toujours mieux prévenir que guérir.
Jeune encore dans la pratique, je me suis aidé, dans cette rédaction, des écrits recommandables qui ont été publiés à ce sujet par plusieurs vétérinaires distingués, tels que MM. Lafosse, Cruzel, Lafore, Gellé, Laborde, Ringuet, etc.
Si je ne remplis pas, comme je le désirerais, le but que je me propose, j’espère que mes lecteurs accorderont à mon premier écrit toute l’indulgence possible.