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connu, avec les lignes A B et A C, c’est-à-dire avec les mouvements simples qui sont inconnus.
Si l’on suppose de nouveau qu’une pierre soit poussée de A[1] vers B par un mouvement uniforme, mais qu’elle descende vers C, infiniment éloigné du point A, par un mouvement inégal, semblable à celui dont on croit ordinairement que les corps pesants tendent au centre de la terre, c’est-à-dire que les espaces qu’elle parcourt soient entre eux comme les carrés des temps qu’elle emploie à les parcourir, la ligne qu’elle décrira sera toujours une parabole, et I’on pourra déterminer dans la dernière exactitude le point où elle sera dans un tel moment de son mouvement.
- ↑ Voyez la figure suivante.