Page:Mallarmé - Œuvres complètes, 1951.djvu/155

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Veut pour son nez Élisa Une pure toile blanche. 1895. XI Mieux vaut sécher le coryza Que des larmes, bonne Elisa. XII Eisa que votre nez répète Le salut dans chaque mouchoir D’une impartiale trompette A l’an qui se lève ou va choir. 1896. XIII Quoique à ses pieds une sultane Ensemble n’en voie autant choir Lisa, recevez de Stéphane Mallarmé maint et maint mouchoir. 1897. XIV Ces mouchoirs un peu trop donnés Lisa souriante sans cesse Ne les approchez pas du nez Qui manque à la jeune Princesse*. 1898. Princesse, petite chienne japonaise.