Page:Mallarmé - Œuvres complètes, 1951.djvu/177

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XXVI Tant de luxe où l’or se moire N’égale pas, croyez-m’en, Vers ! dormir en la mémoire De Monsieur Louis Metman. XXVII Le pleur qui chante au langage Du poëte, Reynaldo Hahn tendrement le dégage Comme en l’allée un jet d’eau. XXVIII Il obtient ce Charles Morice Par les appartements divers Qu’un plafond seul n’endolorisse L’aile qui lui dicte ses vers. XXIX Non comme pour étinceler Aux immortels dos de basane Tard avec mon laisser-aller Je vous salue, Octave Uzanne. XXX A AI. et AI"" Alirbeau. Un rêve m’étreint sous sa griffe Et j’ai, toujours sans dormir, beau Cajoler ce vain hippogriffe Il m’éloigne des chers Mirbeau.