Page:Mallarmé - Œuvres complètes, 1951.djvu/206

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Dans ma droite de juge intègre Ni l’accepter d’un sourire aigre Sachez, ô mes petits enfants Que vertueux je me défends De rien prendre ni boustifaille Exquise, ni sac d’or qu’il faille Que je me donne auparavant. Çà, j’ouïs d’où souffle le vent.