Page:Mallarmé - Œuvres complètes, 1951.djvu/948

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L’adjonction la plus fréquente à la consonne d’attaque est eelle d’Z et d’r, puis db, et d’m ou d’zz, enfin d’h : une analyse exacte de ces alliances de lettres, qu’adopte le Français ou de lui inconnues, relève de la portion de cette Philologie où apparaîtra la Grammaire (Vol. II). Le sens qui peut résulter de mainte combinaison, voici, dans les limites de l’observation exacte, l’objet seul des Notes accompagnant cette Nomenclature, et encore rien ne se passe-t-il qu’au commencement des vocables : mais il sied d’ajouter que c’est là, à l’attaque, que réside vraiment la signification (la voyelle ou la diphthongue médianes prenant dans les langues du Nord une importance médiocre et les consonnes finales apparaissant à l’état de suffixes point toujours discernables). babe, enfant, et BABY. back, dos, et la préposition de retour. to bake, faire cuire au four. bat, gros bâton. to bear, porter. beech, hêtre. beck, signe. bell, cloche. B booby, bêta. babble, babil, et to •—, balbutier. blab, jaseur, et to —, jaser. bank, rivage. beach, bord. to bask, chauffer. batch, fourmi. to beat, battre. bâte, abat. beetle, maillet. bat, chauve-souris, battant l’air de son vol. burden, fardeau ou refrain. et burthen. barm, e'cume, que porte la bière. birth, naissance. berth, case, (lit dans les vaisseaux) . book, livre, d’abord écrit sur l’écorce du hêtre. buck, lessive, faite aux cendres de hêtre. to beckon, faire signe. BEAKON,jêw, signal. peal *, carillon. Quelques-uns le font venir d’APPEAL, Fr. appeler et appel.