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Le seul, il le fallait fluide comme l’enchanteur des Vies Encloses et aigu — qui, par exception, ait, naguères, traité de Danse, M. Rodenbach, écrit aisément des phrases absolues, sur ce sujet vierge comme les mousselines et même sa clairvoyance — à propos d’une statue exposant, déshabillée, une danseuse — les accumule, les allonge, les tend par vivants plis ; puis constate le soin propre aux ballerines depuis les temps « de compliquer de toutes sortes d’atours vaporeux l’ensorcellement des danses, où leur corps n’apparaît que comme le rythme d’où tout dépend mais qui le cache ».

Lumineux à l’éblouissement.

Une armature, qui n’est d’aucune femme en particulier, d’où instable, à travers le voile de généralité, attire sur tel fragment révélé de la