Page:Mallarmé - Divagations.djvu/197

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de l’ombre, ni le chant, de la foudre solitaire et, à proprement parler, pourrait-on ne reconnaître au Ballet le nom de Danse ; lequel est, si l’on veut, hiéroglyphe.

Ce me plaît, rattacher, l’une à l’autre, ces études, par une annotation : quand y invite un sagace confrère qui consentit à regarder le rendu plastique, sur la scène, de la poésie — d’autres évitent-ils de trahir, au public ou à soi, que jamais, avec la métamorphose adéquate d’images, ils ne disposent qu’un Ballet, représentable ; quels élans et si plus spacieux, que multiplie à la vision leur strophe.