Page:Mallarmé - Divagations.djvu/221

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lement devant des splendeurs, que celui donné par la crapule exigeant la suppression, avec ou sans le gouvernement, du chef-d’œuvre affolé lui-même : ce genre de honte possible n’avait encore été envisagé par moi et acquis, au point que quelque tempête d’égout qui maintenant s’insurge contre de la supériorité et y crache, j’aurai vu pire, et rien ne produira qu’indifférence.


Certaine incurie des premières représentations pour ne pas dire un éloignement, peut-être, de leur solennité, où une présence avérée parmi tout l’éclat scénique commande, au lieu de ces légères Notes d’un coin prises par côté et n’importe quand à l’arrière vibration d’un soir, mon attention pleine et de face, orthodoxe, à des plaisirs que je sens médiocrement ; aussi d’autres raisons diffuses, même en un cas exceptionnel me conduisirent à négliger les moyens d’être de ce lever angoissant du rideau français sur Wagner. Mal m’en a pris ; on sait le reste et comment c’est en fuyant la patrie que dorénavant il faudra satisfaire de beau notre âme.

Voilà, c’est fini, pour des ans.

Que de sottise et notamment au sens politique envahissant tout, si bien que j’en parle ! d’avoir