Page:Mallarmé - La Musique et les lettres.djvu/44

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

qui n’a que faire de rien outre la musicalité de tout.

Ainsi, quant au malaise ayant tantôt sévi, ses accès prompts et de nobles hésitations ; déjà vous en savez autant qu’aucun.


Faut-il s’arrêter là et d’où ai-je le sentiment que je suis venu relativement à un sujet beaucoup plus vaste peut-être à moi-même inconnu, que telle rénovation de rites et de rimes ; pour y atteindre, sinon le traiter. Tant de bienveillance comme une invite à parler sur ce que j’aime ; aussi la considérable appréhension d’une attente étrangère, me ramènent on ne sait quel