l’histoire ; Euterpe (fig. 169) « la charmeuse ». Muse de
la poésie lyrique ; Érato (fig. 170) « l’aimable », Muse
de la poésie aimable et de l’art mimique ; Thalie (fig. 171)
« la joyeuse », Muse de la comédie et de la poésie idyllique ;
Melpomène (fig. 172) la « chanteuse », Muse de
la tragédie ; Terpsichore (fig. 173) « qui se réjouit dans
Fig. 171. — Thalie.
Fig. 172. — Melpomène.
les danses », Muse de la danse mêlée au chant ; Polymnie
(fig. 174) « qui aime les chants ». Muse des
hymnes sublimes ; Uranie (fig. 175) « la céleste », Muse de
l’astronomie, et Calliope (fig. 176) « à la belle voix », Muse
de la poésie épique. On représentait ces neuf Muses, assises
ou debout, chacune avec quelque attribut différent.
Un grand chasseur, aimé d’Artémis et d’Éos et placé après sa mort au nombre des étoiles, s’appelle Orion.