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Page:Mallarmé - Les Poèmes d’Edgar Poe, maquette, 1888.djvu/183

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plus de temps pour des soins ardents, les yeux fixes sur l’inquiet ciel. Et quand une heure aux ailes plus calmes étend sa plume sur mon esprit — passer ce peu de temps avec la lyre et le rythme (choses défendues !) mon cœur s’en ferait un crime, à moins qu’il n’ait frémi à l’unisson des cordes.