Page:Mallarmé - Les Poésies, 1899.djvu/76

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De Vénus qui, le soir, brûle dans le feuillage :
J’y partirais.

J’y partirais. Allume encore, enfantillage,
Dis-tu, ces flambeaux où la cire au feu léger
Pleure parmi l’or vain quelque pleur étranger
Et..


N.

Et.. Maintenant ?

H.

Et.. Maintenant ? Adieu.
Et.. Maintenant ? Adieu. Vous mentez, ô fleur nue
De mes lèvres !
De mes lèvres ! J’attends une chose inconnue
Ou peut-être, ignorant le mystère et vos cris,
Jetez-vous les sanglots suprêmes et meurtris
D’une enfance sentant parmi les rêveries
Se séparer enfin ses froides pierreries.