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I

HAMLET

Loin de tout et du temps où se cherchent dans le trouble nos cités, la Nature, en automne, prépare son Théâtre, sublime et pur, attendant pour éclairer, dans la solitude, de significatifs prestiges, que l’unique œil lucide qui en puisse pénétrer le sens (ainsi notoire le destin de l’homme), un Poëte, soit rappelé à des plaisirs et à des soucis médiocres.


Me voici, renfermant l’amertume d’une rêverie interrompue, de retour et prêt à noter, en vue de moi-même et de quelques-uns aussi, nos impressions issues