Page:Mallarmé - Pages.djvu/14

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résignées se regarderont ; tandis que les poëtes de ces temps, sentant se rallumer des yeux éteints, s’achemineront vers leur lampe, le cerveau ivre un instant d’une gloire confuse, hantés du Rythme et dans l’oubli d’exister à une époque qui survit à la beauté.