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À défaut du ballet y expirant dans une fatigue de luxe voici que ce local singulier deux ans déjà par des vêpres dominicales de la symphonie purifié bientôt intronise, non pas le cher mélodrame français agrandi jusqu’à l’accord du vers et du tumulte instrumental ou leur lutte (prétention au danses parallèle chez le poëte) mais un art, le plus compréhensif de ce temps, tel que par l’omnipotence d’un total génie encore archaïque il échut et pour toujours aux commencements d’une race rivale de nous : avec Lohengrin de Richard Wagner.

Ô plaisir et d’entendre là dans un recueillement trouvé à l’autel de tout sens poétique ce qui est jusque maintenant la vérité ; puis, de pouvoir, à propos d’une expression même étrangère à nos propres espoirs, émettre, cependant et sans malentendu, des paroles.