Page:Mallarmé - Vers et prose.djvu/152

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

quelque étrange juxtaposition d’innocence quasi idyllique avec les solennités énormes ou vaines de la magie : alors se teint et s’avive, comme des vibrations noires d’un astre, la fraîcheur de scènes naturelles, jusqu’au malaise ; mais non sans rendre à cette approche du rêve quelque chose de plus simple et de plus extraordinaire.