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Page:Mallarmé - Vers et prose.djvu/165

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enthousiasme et paya la bienvenue, parmi nous, avec des lieds ou chants brefs.


Ainsi il vint, c’était tout, pour lui ; pour nous, la surprise même — et toujours, des ans, tant que traîna le simulacre de sa vie, et des ans, jusqu’aux précaires récents derniers, quand chez l’un de nous le timbre de la porte d’entrée suscitait l’attention par quelque son pur, obstiné, fatidique comme d’une heure absente aux cadrans, et qui voulait demeurer, invariablement se répétait pour les amis anciens eux-mêmes vieillis, et malgré la fatigue à présent du visiteur, lassé, cassé, cette obsession de l’arrivée d’autrefois.