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parent d’un épouseur, lui répète par trois fois les paroles suivantes, qu’Euripide met dans la bouche du jeune Hyppolyte ; et que le trop galant Racine s’est bien gardé de nous transmettre :
« … Heureux l’époux qui ne voit en sa maison qu’une femme simple ! car le comble du malheur, c’est une femme bel-esprit. Me préservent les Dieux d’une épouse qui sait plus qu’elle ne doit savoir !… »
(Act. III. Scène 2. Phèdre et Hyppolite.)
N. B. Phèdre se piquait de bel-esprit, voire même de philosophie ; Phèdre !…
XXXV.
La Raison veut que dans le cérémonial du mariage chez les modernes, on imagine quelqu’incident du genre de celui-ci pratiqué par les anciens :