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favorable. Quelques mots surpris au hasard m’ont renseigné.
Lorsque je regarde mon père, à l’aspect de cet homme qui porte l’honneur sur son visage, je suis prêt à m’écrier :
— Ô père ! Toi qui, depuis la mort de ma mère, as vécu solitaire par égard pour ton fils, sans vouloir qu’une robe frôle la place de l’absente ; toi qui n’as pas humilié tes cheveux blancs sous les caresses moqueuses des jeunes femmes ; comment peux-tu laisser ta noble et digne vieillesse se faire la complice tacite de cette vieillesse abjecte qui convoite Geneviève ?
Cela m’apparaît comme un non-sens monstrueux. Mais je garde mes réflexions pour moi. À quoi bon provoquer une altercation entre nous, puisque