Page:Marais - Les Trois Nuits de Don Juan.djvu/208

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

comme cela ? » il dégringolait déjà l’escalier.

Francine rentra à l’intérieur de l’appartement et s’élança vers une fenêtre. Elle se pencha à la croisée, s’efforça de distinguer l’ombre de Jacques, malgré l’obscurité. Elle ne vit rien, mais entendit le ronflement d’une auto qui s’éloignait…

Alors, Clarel murmura :

— Ah ! sapristi… Il avait gardé sa voiture… Pourvu qu’il n’arrive pas trop tôt !