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CAPRICES.


Pour fuir de Paris, cet enfer
Qui m’effarouche,
Nous prendrons le chemin de fer
Ou bien la mouche.

Nous irons à Meudon, décor
Plein de bois sombres,
À Saint-Cloud qui sourit encor
Sous les décombres.

N’aimes-tu pas mieux de Chatou
Le paysage ?
Bougival, où je devins fou
Sur ton passage ?

Quoi ! Tu dis que ça n’est pas vrai,
Et tu tressailles !
Irons-nous par Ville-d’Avray
Jusqu’à Versailles ?