Page:Marc - Sonnets parisiens, 1875.djvu/23

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Ce calme est solennel et triste. La pensée
Vers le monde idéal flotte comme oppressée.
Parfois, pour animer ce repos accablant,

Un martin-pêcheur vole, en rasant le feuillage,
Et, sur l’onde où la lune étincelle en tremblant,
Un étroit canot glisse avec son long sillage.