que M. Truffier est un délicat poète « à ses heures » et M. Duflos « un de nos plus intrépides pédaliers ».
Et sa vie à lui aussi nous la connaissons, car dans son besoin de se révéler, sa pensée lui semble trop impersonnelle, il nous livre ses habitudes. Nous apprenons que dînant en ville le soir d’une première il est parti avant le café pour arriver à l’heure et que le rideau ne s’est levé que longtemps après. Il prend le parti du public,
« De celui qui paie, le vrai »
(parodie d’un vers connu), incrimine l’administration
du Vaudeville, met en cause le directeur des Beaux-Arts.
Dans dix ans il réunira ses « silhouettes », « ses pointes
sèches » et ses « sanguines ». À la première page une
lettre de M. Duquesnel signifiera qu’il en accepte
la dédicace. Pour le moment, il cherche à entrer à la
Revue d’Art dramatique.