Page:Marcel Schwob - Œuvres complètes. Écrits de jeunesse.djvu/330

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37. (page 205)

On lit sut le manuscrit : Dessins pour la Lanterne Rouge. Gsell descripsit. Il s’agit de Paul Gsell, camarade de Marcel Schwob. Ils étaient alors si liés qu’on les désignait par un seul nom.

38. (page 215)

Il y a plusieurs rédactions. Nous avons suivi celle qui paraissait une mise au net. L’ouvrage est transcrit sur un cahier d’écolier ; sur la couverture entoilée on lit Prométhée, 1885, Marcel Schwob. Quelques mots de sanscrit. Trois torches dessinées à la plume. — Il ne faut pas oublier que ces vers sont d’un adolescent de dix-huit ans.

39. (page 218)

Var. Les Dragons.

40. (page 218)

Var. Malheur à l’imprudent.

41. (page 218)

Var. nos museaux.

42. (page 233)

Le manuscrit est très irrégulier. C’est nous qui avons restitué l’ordre possible des fragments. Ils datent de 1883 à 1886. Les vers sont souvent scandés à l’antique. Quelques notes de musique et des indications de mouvement indiquent qu’il s’agit d’une sorte d’oratorio. Mais ce sont surtout les parties en prose, la richesse et la hardiesse de la pensée, qui nous ont déterminé à publier ces fragments de jeunesse, une sorte de mystère.

Le Prologue était commun à Prométhée, dont Faust, dans la pensée de l’adolescent, formait la suite.