La Royne de Navarre aymoit fort les Alençonnois. 110-109.
La grand perte que les Alençonnois ont faicte à la mort de la Royne de Navarre. 111-110.
Il fault permettre à l’humanité de s’émouvoir de la perte des siens. 111-110.
L’amour de Alceste vers son mary. 112-111.
L’amour de Laodamie vers Protésilae. 112-111.
Exemples d’aulcuns qui se deffirent de deuil. 112-111.
Portie, femme de Brute. 112-111.
L’amour de Artémise vers Mausole son mary. 113-112.
Le Chrestien ne doibt suivre le désespoir des Ethniques. 113-112.
La piété de l’Empereur Anthoine vers Faustine sa femme. 113-112.
La Royne de Navarre n’ha besoing de statues pour estre immortelle. 114-112.
La Royne de Navarre monstra assés, devant que mourir, qu’elle ne craignoit la mort. 114-113.
La mort est le remède de touls mauls. 114-113.
La mort est le dernier médecin de toutes maladies. 115-113.
La vie est déduicte de violence. 115-113.
Le corps est la prison de l’âme. 115-114.
Ce monde est une mair de mauls. 115-114.
Certaines aultres raisons pourquoy l’on ne doibt pleurer la mort de la Royne de Navarre. 116-114.
Puys que la mort n’est qu’un dormir, la Royne de Navarre dort. 117-115.
La mort n’est qu’une permutation de demeure. 117-115.
Pleurer la Royne de Navarre est la désirer retourner à misère. 118-116.
La vie de ce monde est un voïage périleus. 118-116.
Nostre volunté doibt estre soubmise à la volunté de Dieu. 118-116.
Les vertus & les escripts de la Royne de Navarre nous excitent à havoir souvenance d’elle. 119-116.
Madame Marguerite, fille du Roy François, sœur unique du Roy Henry Très Chrestien. 120-117.
La Royne de Navarre est encore avec nous en esprit & par ses œuvres. 121-118.
La mort est un changement de vie. 121-118.