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Page:Marguerite de Navarre - L’Heptaméron, éd. Lincy & Montaiglon, tome I.djvu/343

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VIIJe NOUVELLE

quelque belle, qui sera la neufviesme de ceste Journée.

— À fin, » dist Dagoucin, « que les signes & les miracles, suyvant ma véritable parole, vous puissent induire à y adjouster foy, je vous allégueray ce qui advint il n’y a pas trois ans :