Aller au contenu

Page:Marguerite de Navarre - L’Heptaméron, éd. Lincy & Montaiglon, tome III.djvu/170

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
156
VJe JOURNÉE

Passe oultre, & n’en tiens compte. Toutesfois, pour vous monstrer qu’ilz n’ont pas laissé leurs passions avec leurs habitz mondains, je vous diray ce qui advint :