LETTRES INÉDITES bien tost où je désire. Qui est ce que vous en aurez pour ceste heure de celle qui supplie le Tout-Puissant vous donner le bien que vous désire, de Servyères, ce x jour de décembre,
Vostre bonne cousine, MARGUERITE. [F. Béth., n° 9127, fol. 45. Dictée. ] 16.
— AU MÊME. (Décembre 1525.)
Mon cousin, puisque je voy [que] la disymulacion de ceux à qui le Roy a affaire, sur la conclusion desquels est fondé vostre partement, continue tousjours, je ne puis faillirà vous escrire comme estant’auprès du maistre, lequel je vous prie asseurer que Madame fait fort bonne chère, et que puisqu’il luy plaist, je feray si bonne diligence, que samedy j’espère estre à Narbonne, pour y faire séjour du jour de Nouël seulement, afin de trouver Madame incontinent quy m’a mandé se trouver jusques où le Roy vouloit qu’elle vinst. Je croy que de ce temps vous y pourrés bien estre, sy les choses pregnent fin comme il est à penser qu’elles feront, par quoy bien lasse va faire fin Vostre bonne cousine, MARGUERITE ?. [F. Béth., n° 8549, fol. 69. Auto.] · Comme à celui qui est. 2 Sur la manière dont François le fut traité en Espagne après le départ de Marguerite, voyez une lettre de Delabarre, prevôt de Paris, à la duchesse d’Alençon. (Pièces justificatives, nº II.) Voyez une réponse de Montmorency à Marguerite : Pièces justificatives, nº XIV.