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Page:Marguerite de Navarre - Nouvelles Lettres, éd. Génin, 1842.djvu/148

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LETTRES INÉDITES

LETTRES INÉDITES obéy ; car je croy que vous n’avez capitaine en vostre armée qui de millieur cueur s’y treuve qu’ils feront’. Et quant à moy, Monseigneur, oultre le bien que ce m’est d’aller où vous estes, ce m’est grant heur d’estre à cete bande ; car je vous asseure qu’il n’y a debat sinon à qui plus desire vous obéir et servir. Et combien que mon esperience soit la plus longue, je voy leur affecsion si grande, que, coume de chose impossible, se sent honorée d’estre vaincue, regardant plus à vous que à soy mesmes

Vostre très humble et très obéissante subjecte MARGUERITE.

( Ms. nº 55.] et seur

LETTRE LXXIX. AU ROI.

( ? Automne de 1536.) (Méchanceté et déloyauté de Charles V. Allusion à la mort du Dauphin, récemment empoisonné à Tournon.) Monseigneur, j’ay reçu la lettre, etc. (T. I, lettre 130, p. 332.)

· Elles y allaient donc.