Page:Marguerites françaises.djvu/168

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ralité.

Recevez-le, non comme chose digne de merite, mais comme un tesmoignage de ma bonne volonté.

Si vous plaist recevoir mon present d’un gracieux visage, cela me poussera plus outre.

Vous recevez avec les effets de mon affection, ceux de mon ignorance, qui ne se peut cacher là où mon labeur se monstre.

J’espere que ce mien œuvre reüssira sous l’authorité de vostre nom, et vous estant à gré, sera agreable au public.