Page:Marguerites françaises.djvu/224

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

cement.

Rien davantage, sinon que je vis avec une memoire perpetuelle de vos beautez et perfections.

Je ne vous escry rien davantage de ma devotion, car je craindrois d’offencer vostre beau jugement.

Si vous aymez encor les marques de ma main, gardez ceste lettre, pour le dernier gage de mon amour.

Je fay fin à ma lettre, et non à mes recommandations, car je veux qu’elles soyent infinies, comme le desir et affection, que j’ay à vostre servi-