Page:Marguerites françaises.djvu/266

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mon cœur, mes affections, mon service, et le desir que vous me nommiez vostre.

Ialovsie.

Il estoit espris d’une telle affection et jalousie, qu’il ne pouvoit presque souffrir ses pensées, pour compagnes.

La crainte et la jalousie sont tellement jointes à l’amour, qu’ils ne marchent jamais l’un sans l’autre.

Il n’y a point de flammes si ardentes, qui ne s’esteignent à la fin, si elles ne sont r’allumées par le feu de jalousie.